Langues de travail de la Commission

Les règles de régie internes de la Commission établissent que les échanges entre les membres de la Commission peuvent se faire en français, en anglais, en inuktitut ou, le cas échéant, en naskapi.  La politique sur les langues de travail de la Commission est fondée sur la prémisse que tous ses membres doivent avoir un accès linguistique adéquat aux dossiers qui leur sont soumis pour analyse et décision.

Les langues de travail des membres Inuit de la Commission sont habituellement l’inuktitut et l’anglais. Tout en respectant la Politique linguistique du Gouvernement du Québec, qui établit que les documents relatifs aux projets doivent être soumis en français, les promoteurs sont invités à fournir à la Commission une traduction complète des documents déposés ou du moins un sommaire en anglais dans le but d’accélérer l’analyse et la prise de décision. À défaut de quoi, la Commission a l’obligation de fournir sa propre traduction ce qui pourrait avoir un effet sur le délai d’analyse des projets.